tag:blogger.com,1999:blog-991571611289226752.post3657362994373207298..comments2010-02-17T09:35:34.235+01:00Comments on Jamais je n'aurais dit ça: « mille massives panthères ronflantes »Unknownnoreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-991571611289226752.post-74346395852799812572008-05-14T23:36:00.000+02:002008-05-14T23:36:00.000+02:00Chère madame Beaussart, votre visite m'honore et v...Chère madame Beaussart, votre visite m'honore et vos mots me réjouissent. Revenez-y !Les TAChttps://www.blogger.com/profile/03764569298796893363noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-991571611289226752.post-89092895698704246772008-05-14T14:09:00.000+02:002008-05-14T14:09:00.000+02:00Chère Madame Momont, voici une jolie poésie de ma ...Chère Madame Momont, voici une jolie poésie de ma jeunesse enfuie : LA BATTEUSE MÉCANIQUE MODERNE ET L'ÉLECTRICITÉ MODERNE AU VILLAGE. Ce jour-là, les fléaux étaient lourds dans nos mains... Les fléaux dont cet écho sonne au fond des vieux murs, se chargeaient ce jour-là d'une curieuse lassitude... Ils boitaient et parfois faiblissaient, comme un homme dont la vie est usée, dont les pas n'ont plus d'idées. Et puis, l'un après l'autre, ils se sont tus comme étouffés, comme mangés par une force... Par une force qui venait de naître, par un chambard qu'on n'avait jamais discerné, et qui montait et bourdonnait par le village figé. Accrochée au moteur tournoyant, la batteuse happait, avalait, broyait les gerbes lourdes, crachait comme la nuée pailles, flocons, poussières, et tout le blé jaillissait comme un flot de ses flancs... Puis tout à coup, au centre du village, parmi les ruelles, comme une aurore, la lumière jaillit, cataracte éblouissante, au sommet des poteaux de ciment et de métal qui, de même qu'un humain étend ses bras pour déployer sa force, soulèvent, en haut des maisons et des champs, les câbles étincelants qui les relient entre eux et qui relient entre eux, les hameaux aux hameaux, et qui s'en vont plus au loin de par le vaste monde... Salut ! salut, lumière amie, belle fontaine ! Pour la toute première fois, ô viens, répands-toi sur nous, sur nos visages et nos mains, nos torses et nos bras, nos haillons et nos bérets... Ô viens fouiller les recoins de nos domiciles sordides, ô viens forcer de ton poing lumineux, dans nos crânes, les idoles pourries et les spectres, ô rejaillis en force sur nous ! Salut, beau fruit abondant ! belle lumière amie ! Soyez les bienvenus en ce soir au milieu de nous. <BR/>avec Mauricette BeaussartMauricette Beaussarthttps://www.blogger.com/profile/08057396954588737344noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-991571611289226752.post-38094959322620853832008-05-07T09:37:00.000+02:002008-05-07T09:37:00.000+02:00Revenez quand vous voulez, je n'emporte jamais le ...Revenez quand vous voulez, je n'emporte jamais le bec-de-cane en cas d'absence.Les TAChttps://www.blogger.com/profile/03764569298796893363noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-991571611289226752.post-9513014688063014192008-05-06T23:00:00.000+02:002008-05-06T23:00:00.000+02:00Non, non, dois y aller, c'est l'heure, c'est qu'on...Non, non, dois y aller, c'est l'heure, c'est qu'on ne voit pas le temps passer chez vous, bon, d'accord, si vous insistez un dernier Pinget alors, pour la route, allez, bien le bonsoir et à demain.albin, journalierhttps://www.blogger.com/profile/14643947038521518424noreply@blogger.com