
Je ne fais aucune différence dans mon activité entre écrire de la poésie et en traduire. Ça fait partie du travail.
Et la belle formule que Rueff applique tant à un artisanat qu'à l'autre :
« Le “se laisser aller” à la langue. »
Bref, vingt-cinq minutes non négligeables à écouter par exemple ci-dessous :
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